Réalisations

Ce que je fais de mes 10 doigts

Game Boy Camera, 128×112 de bonheur

Par louisdavid | 10 avril 2025

Certaines personnes m’ont demandé comment j’ai fait ma photo de profil, comment ai-je réussi à avoir un style si pixelisé ? C’est simple, j’ai utilisé la Game Boy Camera, « GBC » pour les intimes. C’est un appareil photo sorti en 1998 qui s’intégrait comme une cartouche dans la Game Boy. Si ce n’est pas le premier appareil…

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ChatGPT, Ghibli et mèmes québécois

Par louisdavid | 27 mars 2025

La nouvelle itération de ChatGPT amène l’image générée par IA à un autre niveau, il peut même copier des styles de manière assez impressionnante. Encore une fois, OpenAI semble bafouer les droits d’auteur ou du moins jouer sur la ligne floue séparant le vol et l’inspiration. Bien que je trouve ceci inquiétant, j’avoue avoir craqué……

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Couvrir la manif contre la privatisation d’Hydro-Québec

Par louisdavid | 23 mars 2025

ÉDIT (4 avril 2025) plus de 141 000 personnes ont vue mes photos sur Facebook! 😳🤯 J’adore faire de la photographie et je trouve important de manifester pour des causes qui me tiennent à cœur. Donc, les deux ensembles, photographier une manifestation, font partie des choses que j’aime le plus faire. En photographie, ce que j’aime,…

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Erreur 418

Un blogue pas tout à fait utile.

C’est l’erreur I’m a teapot, je suis une théière. C’est une erreur HTTP qui vous informe que le serveur ne fera pas de café, parce que c’est une théière. Un poisson d’avril de 1998, à l’époque où Internet avait un goût de fraîcheur. C’est la petite sœur imaginaire de l’erreur 404, une erreur qui n’existe pas vraiment, comme ce blogue. Et puis, 418, c’est aussi l’indicatif régional du Lac-Saint-Jean, ma région natale.

Autoportrait à la Game Boy Camera, comme en 1998, l'année de la création de l'erreur 418

LD pour les intimes

Je m’appelle Louis-David, LD pour les intimes, je travaille dans le domaine des communications depuis 15 ans. J’avais envie de bloguer comme en 2002 : sans plan ni stratégie. Parler de tout et de rien. Mais surtout, de ce qui m’intéresse. Et puis, garder des traces, de ce que je fais, de ce que je crée — autant sur le plan professionnel que personnel.